TOUT AU LONG DE NOTRE VIE,

NOUS SOMMES AUX CONTACTS DE NOS ÉMOTIONS

ET DES ÉMOTIONS D’AUTRUI.

MIEUX COMPRENDRE

NOS ÉMOTIONS ET CELLES DES AUTRES,

POURQUOI PAS VOUS ?

COMPRENDRE UNE ÉMOTION

Une émotion est un indicateur de ce qui se passe en nous. Sans émotion, il nous serait plus délicat de savoir ce qui nous plait ou nous déplaît. L’ émotion nous permet de réagir. Une fois l’émotion rencontrée, nous pouvons nous adapter, nous pouvons grandir , nous pouvons modifier nos comportements.

Comprendre nos émotions nous permet d’ÉVOLUER.

Comprendre les émotions des autres nous permet d’analyser et de comprendre l’entourage dans lequel nous souhaitons évoluer.

Ainsi, en grossissant le trait, vouloir évoluer dans un environnement qui ne veut pas que vous évoluiez, peut être parfois source de malaises, source de situations très malsaines, et source de perte d’énergie constante.

Vous souhaitez mieux comprendre vos émotions et celles de votre entourage, nos équipes de coachs sont à votre écoute.

Communiquez à l’aide du formulaire ci dessous, afin que nous vous rappelions :

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    LES ORIGINES DE L’EMPATHIE

    L’empathie repose sur la conscience de soi. Plus nous sommes sensibles à nos propres émotions, mieux nous réussissons à déchiffrer celles des autres. Les travaux de Paul ECKMAN et les ouvertures qu’ils ont occasionnés ont largement permis d’analyser le mensonge et la duperie, dans la communication de fausses émotions à autrui. Ainsi la manipulation par la communication de fausses émotions à autrui est beaucoup plus facilement décelable par les individus qui sont plus sensibles.

    Dans toute relation humaine, la bienveillance et l’affection trouvent leur origine dans l’harmonie avec autrui et dans l’aptitude à l’empathie.

    Cette aptitude là, c’est à dire cette capacité à comprendre ce que ressentent les autres, est utile dans de multiples situations, que ce soit en vente, en gestion des équipes, dans les relations parents-enfants, entre amants.

    DISTINCTION ENTRE

    EMPATHIE ET ‘FABRICATION‘ DE L’EMPATHIE

    Dans ce chemin, il ne faut pas confondre “Aptitude à comprendre ce que ressentent les autres” avec “Montrer une volonté comprendre les autres“.

    La volonté d’être intrusif dans la connaissance des émotions d’autrui, traduit un objectif pour soi, et non pour l’autre.

    Alors que, l’aptitude à comprendre les émotions d’autrui est dénué d’objectif pour soi.

    Les gens traduisent rarement leurs émotions par des paroles. Ils l’expriment beaucoup plus souvent par d’autres moyens. Connaitre intuitivement les sentiments d’autrui, c’est être avant tout capable de déchiffrer des signaux non verbaux : Le ton, la voix, les gestes, l’expression du visage.

    Ainsi, par exemple, une épouse qui utilise et provoque certains types d’émotions de son mari, pour arriver à des fins bien précis, est une calculatrice. Une épouse, qui comprend les émotions de son mari, sans les provoquer de manière délibérée, développe l’harmonie dans son couple.

    TOUT COMME LES MOTS SONT LE MODE DE L ‘EXPRESSION DE LA PENSÉE RATIONNELLE,

    LES SIGNAUX NON VERBAUX SONT PRINCIPALEMENT CELUI DES ÉMOTIONS.

    Ainsi une maman qui va vouloir, par tous les moyens, de connaître les émotions de sa fille, aura une volonté malsaine de fusion et non de développer une relation saine entre elle et sa fille.

    Nous connaissons des mamans qui vont jusqu’à vouloir choisir le même psychologue que leur fille, pour influer sur le comportement de la thérapie de leur fille. Il n’y a aucun altruisme dans cette démarche.

    Pour développer cette relation de fusion, il y a des mamans qui vont également jusqu’à provoquer des maltraitances psychologiques en leurs enfants, pour ensuite leur proposer l’antidote : L’affection de leur maman.

    Dans ce cas particulier, nous connaissons des mamans qui, par exemple ont été jusqu’à faire pleurer leur enfant, pour ensuite vouloir le consoler.

    ANALYSE D’UN EXEMPLE

    L’une de ces mamans là, avait appris, par son époux qui s’occupait des enfants, que leur fille avait eu deux interrogations, l’une en Mathématiques, l’autre en Sciences Economiques et Sociales, consécutivement. La première interrogation, en SES, s’était très bien passée. L’autre, à la suite, de la première, n’a pas eu la même attention, compte tenu de la fatigue de la première.

    Le papa avait pris le temps d’être attentif aux sentiments de sa fille, il l’avait laissé parlé, au fur et à mesure que les sentiments pouvaient sortir. Puis il avait exprimé sa compréhension de la situation, en invitant sa fille à faire ressortir une réflexion. Qu’est-ce qu’elle en pensait ? Quelles pourraient-être les solutions à envisager ? Le plus important pour ce papa là était que sa fille puisse détenir sa solution, en réagissant en mode projet. Agir et réagir en mode projet, voulait dire pour ce papa là, construire une méthode de réflexion, définir un état de départ et un état d’arrivée, tout ceci pour arriver à une solution.

    Puis il exposa à son épouse les détails de la non réussite de l’examen de leur fille, lors du DS de Mathématiques, compte tenu de la fatigue occasionnée par le premier DS de SES.

    LA MAMAN DE CETTE JEUNE FILLE A IGNORÉE L’INFORMATION SELON LAQUELLE SA FILLE ÉTAIT FATIGUÉE EN ARRIVANT À LA DEUXIÈME INTERROGATION :

    Non seulement cela, mais elle a également délibéremement accusée sa fille de ne pas avoir travaillé. Elle l’a tellement accusée, qu’elle a provoquée en sa fille un ébranlement. Puis elle l’a fait pleurer.

    LA JEUNE FILLE N’A PAS COMPRIS POURQUOI SA MÈRE SE METTAIT DANS CET ÉTAT, ET LA METTAIT DANS CET ÉTAT:

    Elle l’avait même formalisé en lui demandant pourquoi elle se comportait de la sorte, sans connaître ce qui s’était passé.

    Il ne venait pas à l’esprit de cette jeune fille que sa maman connaissait les faits, et sa fatigue alors survenue au deuxième DS.

    POURQUOI SA MAMAN LA FAISAIT-ELLE PLEURER ?

    Le père, pris entre le marteau et l’enclume, n’en croyait pas ses oreilles. Il a tenté de raisonner son épouse : Lui, il savait qu’il avait bien communiqué à son épouse les informations précises de la fatigue de leur fille.

    Si le père agissait, il allait pourvoir aider sa fille, mais il allait se mettre son épouse à dos.

    En voyant sa fille pleurer, son père a agit pour la protéger.

    La mère avait alors décuplé son agréssivité, nouvellement dirigée sur son mari.

    La fille ne supportant plus la situation, était alors parti en pleurs dans sa chambre.

    Plus tard, la mère est retournée voir sa fille pour lui apporter sa solution : Elle allait demander à un copain médecin d’attester un état médical, et demander au professeur de Mathématiques de refaire l’examen.

    UN COMPORTEMENT HUMAIN MATERNEL SAIN

    AURAIT ÉTÉ L’EMPATHIE DE LA MÈRE À SA FILLE,

    ET NON LA FABRICATION DE L’EMPATHIE

    APRÈS UN ÉBRANLEMENT ÉMOTIONNEL

    DÉLIBÉREMMENT RÉALISÉ PAR LA MÈRE SUR SA FILLE.

    LE DÉPHASE ET SES CONSÉQUENCES

    Au cours d’une de ses expériences, STERN demanda à des mères d’exagérer ou de minimiser leur réactions aux sentiments exprimés par leurs bébés, au lieu de le faire de manière harmonieuse. Ceux-ci montrèrent immédiatement du désarroi et du chagrin.

    L’absence prolongée d’harmonie entre un parent et son enfant ébranle profondément ce dernier d’un point de vue affectif. Nous connaissons des mamans qui ont élevé leurs enfants dans une éducation matriarcale. Elles-même, malgré elles, ont alors reproduit le schéma, en voulant écarter le père de son rôle, ou alors en lui attribuant un rôle disgracieux.

    Une maman qui a toujours été manipulée par sa maman au cours de ses 40 dernières années, va, si elle n’entreprend pas une thérapie pour elle-même, continuer à reproduire le schéma. Certaines théories psychanalytiques considèrent dans ce cas que la relation thérapeutique permet précisément une ré-éducation affective et constitue une expérience d’harmonisation réparatrice, encore faut-il le vouloir.

    Le vouloir ? C’est probablement ce qui différencie la thérapie seule et la thérapie accompagnée d’un d’un encadrement par un coach de vie, lequel va motiver sur d’autres angles de vue, et challenger les améliorations.

    II. LES DISPOSITIONS D’ESPRIT NÉGATIVES SONT DES ENTRAVES À LA PENSÉE

    Afin d’étayer les arguments, nous allons vous donner des exemples de situations qui se sont réellement passées:

    II.I. PREMIER EXEMPLE :

    Je suis inquiète pour mon fils. Il vient d’entrer dans l’équipe de football de l’université il est certain qu’un jour ou l’autre il va se blesser

    La femme, qui s’exprime ainsi, est en thérapie. Elle sait que son anxiété l’empêche de vivre comme elle le voudrait. Chaque fois qu’elle doit prendre une nouvelle décision, même la plus simple, comme d’assister ou non aux matchs de son fils, elle imagine le pire. Elle ne peut pas choisir librement : Son inquiétude domine sa raison.

    Ainsi, l’effet délétère de l’anxiété sur le fonctionnement de l’esprit résulte essentiellement d’une propension à se mettre martel en tête.

    Cette certitude à huis clos du désastre annoncé engendre un immobilisme cognitif désastreux, quand elle devient une routine qui accapare l’attention et empêche de se fixer sur autre chose.

    II.II. DEUXIÈME EXEMPLE :

    Sur ce même schéma de fonctionnement, à dispositions d’esprit négatives, nous pouvons vous citer l’expérience d’une Directrice de société, qui sur le mode accusatoire, a tout fait pour se séparer de l’un de ses collaborateurs:

    La Directrice, dont nous vous parlons, avait commencé par communiquer à son salarié ses propres émotions : Elle lui indiquait qu’elle se trouvait être très affectée par la situation, et ne savait pas comment elle allait réparer la voiture de la société. Puis, elle était passé à l’accusation: “Vous l’avez sabotée.”

    Très fière de faire part de sa méthode, elle en avait par la suite expliqué les fondements : Elle avait appliqué le supplice chinois, dont la méthode lui avait été inculqué par sa mère : Sa maman l’utilisait pour se séparer de collaborateurs.

    Le salarié, accusé à tors d’avoir saboté la voiture, et pris à part, avait été maltraité émotionnellement. Il lui avait été difficile de garder son calme, face à cette accusation éhontée. Voyant la situation impossible au quotidien, il avait cherché un travail ailleurs. Son actuel environnement au travail est sain et sans maltraitance.

    La Directrice, de cette société là, avait pourtant des objectifs en apparence louables pour sa société, mais la façon dont elle a été éduquée par sa maman, l’a poussée à entretenir des rapports difficiles avec les salariés.

    CONSÉQUENCES :

    Ainsi les salariés, peu à peu quittèrent la structure, les uns après les autres, tantôt sous les pressions de la Directrice, tantôt pour fuir tout simplement cette ambiance malsaine au travail.

    Cette certitude du désastre annoncé de sabotage de la société, engendre un immobilisme cognitif désastreux, quand elle devient une routine qui accapare l’attention et empêche de se fixer sur autre chose.

    Sans corriger le tir, la dirigeante va continuer à attirer, malgré elle, l’auto-sabotage de sa société.

    De plus, une démission coute à la société : Les indemnités de départs, les congés payés, le solde de tout compte, l’affaiblissement du moral de l’équipe, le temps et l’énergie passée au futur recrutement.

    Et lorsque 50 % des effectifs finit par poser sa démission, c’est une perte sèche financièrement importante, qui pénalise grandement le bilan de la société ainsi que son BFR (Besoin en Fond de Roulement).

    Ce deuxième exemple est encore plus marquant sur l’utilité de comprendre les émotions de notre entourage : Le salarié, dont nous vous parlions, n’a pas pu anticiper que sa Directrice le dupait sur la communication : Très affectée”, sa directrice, ne l’a jamais été. Elle a fein ses émotions, pour provoquer d’autres émotions en son salarié, et le faire ainsi agir d’une certaine façon :

    Comme le dit Daniel GOLEMAN Toutes les émotions sont des incitations à l’action.

    La Directrice avait provoqué, en son salarié, l’émotion de la colère et probablement celle du dégout. Cette incitation à agir, sous l’effet d’émotions provoquées délibérément, est assimilée à de la manipulation.

    EN CE QUI VOUS CONCERNE :

    AVEZ-VOUS DES IDÉES NÉGATIVES ?

    AVEZ-VOUS DES BLOCAGES À UNE PENSÉE LIBRE ?

    ÉPROUVEZ-VOUS DES ÉMOTIONS QUE VOUS NE COMPRENEZ PAS ?

    VOTRE ENTOURAGE ÉPROUVE-T-IL DES ÉMOTIONS QUE VOUS NE COMPRENEZ PAS ?

    VOUS SENTEZ-VOUS MANIPULÉ(E) PAR LES ÉMOTIONS DE VOTRE ENTOURAGE ?

    Nous vous renseignerons sur la méthode la plus appropriée pour avancer et structurer les étapes de votre évolution vers un environnement serein et sain; pour cela, vous pouvez renseigner la fiche suivante :

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